Pendant la première moitié des années 60, Hara-kiri revoit peu à peu sa physionomie: la couleur fait son apparition et la photo y trouve aussi sa place. Outre les images d'actualité détournées, les photographies sont l'oeuvre de Jacques Chenard, alias Chenz. Elles illustres de fausses publicités, des romans-photos ou encore des "fiches cuisines" et des "fiches bricolages" et mème des fois des "fiches farces et attrapes". Pour les modèles on se débrouilles comme on peu. La familles , les amis sont appelés mais le journal loue aussi aussi des services à des filles du Crazy Horse par l'entremise de Wolinski (un des dessinateurs), qui connait bien Alain Bernardin, patron du célèbre cabaret parisien.
En 1963 la photgraphie remplace le traditionnel dessins de Fred en couverture du journal.