• En 1958 Jean Novis décide de rebaptiser le journal Zéro au nom de Cordées. Ce nouveau baptême désole Cavanna. Mais le point positif de ce nouveau titre est qu'il doit favoriser la vente par colportage car il sera moin suspect pour la police que Zéro.

    Les Cordées romp les liens.

    J
    ean Novis rend sont dernier soupir quelques semaines après le changement de titre. C'est sa femme, Denise, qui prend le relais.
    C'est alor que le rêve de Cavanna est de lancer un "grand chouette génial marrant journal". Cette idée lui est venue en pensant au magazine américain Mad. Ce dernier avait pour but de parodier l'ensemble de la société américaine, du monde politique, artistique, du business et mème de la BD!
    A ce moment il c'est dis que si les américains pouvaient le faire et bien eux aussi.


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    Fin 1950 notre Sépia ainsi que d'autre dessinateurs, comme Fred sont déterminés a quitté le nid afin de créer leur propre journal. Mais pour quitté Denise Novi ils ont besoin du soutien de Georges, qui étant directeur des ventes, dispose d'une autorité sans partage sur l'ensemble des colporteurs. Il pourait ainsi les rallier à la cause de Cavanna et des autres. Bernier n'accepta pas l'offre de suite, ayant peur de devenir son propre chef.

    Choron, un nouveau départ.

    En Mai 1960 Bernier réunnis sont équipe de cloporteurs au 4 rue Choron où il possède un bail. C'est à ce moment que tout commence. Il leur demande désormais de trvaillier pour lui seul. Denise Novi se retrouve du jour en lendemain sans aucun vendeur. Quelques semaines plus elle se décidera a vendre son stock de journaux.

                                 

     


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  • 10 000 exemplaires. Voila le nombre de journaux tirés et diffusés dans Paris pour le premier numéro de Hara-kiri. Son prix: 1,90F et se présente en petit format pour facilité la vente par colportage qui est à ce moment la seule méthode de vente utilisée par Hara-kiri. Pour son troisième numéro le vente se fait dans les Kiosques. Sont format s'est allongé. Mais les ventes restes modeste et Cavanna (qui est le rédacteur en chef) gère seul toute la mise en page du journal. Bernier quand à lui (qui est le directeur de la publication) se crève au travail afin de trouver des sources de financement, de gérer les relations avec les imprimeurs, avec le marchand de papier...

    Bête et méchant... merci monsieur!

    Tout au Long des années 1960 Hara-kiri en plus d'être vendu dans les kiosques, Hara-kiri continu à ètre vendu par colportage dans le bur de liquidé les invendus. C'est à partir de son septième numéro qu'il se défini comme "journal bête et méchant". Cette formule est tirée d'un fausse lettre écrite par Cavanna se faisant passer pour un lecteur mécontant. Celle-ci s'adressait aux membres de l'équipe et disait "Non seulement vous êtes bêtes, mais en plus vous êtes bêtes et méchants."
                                      
                                 Le panneu indique: Pont des enfants perdus (au cas ou vous auriez du mal à lire)


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  • C'est dans leurs locaux que noes deux mascottes se préparent à donner naissance au journal le plus déjanté de l'histoire de la presse française. Bernier s'occupe du côté finance. N'ayant aucun capital il doit s'appuyer sur sa source de revenu la plus importante, ses colporteurs. Il passe de plus le plus claire de son temps a chercher des créancier.
    Notre autre moitié, quand à elle est chargé du titre. Parmis les titres proposés par les collaborateurs on pouvait retenir Fer de lance, Arquebuse ou encore Don Quichotte. Mais Cavanna parvint à imposer son idée. Se sera Hara-kiri.

    Sucide en première page.

    Le premier numéro de Hara-kiri montre en couverture le dessin d'un Samouraï, dessiné par Fred, esxécutant la rituel du sucide japonais. Le reste des pages du journal contiennent des textes écrit par Cavanna et plubliés sous plusieurs pseudonymes dont un certain Jiem. Jeune de dix-huit ans à convaincu Cavanna de publier ses dessins dans Cordées en Juillet 1959. Il ne signe pas encore de son vrai nom: Jean-Marc Raiser.
                               

     


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  • Nos deux compères se sont croisés au milieu des années 1950 dans la rédaction du journal Zéro. Celui-ci est vendu par le seul moyen du colportage et ses vendeur on tendance à repartir avec la police.

    Embauché par le directeur de cette publication, Jean Novi, en 1954 à un poste de vendeur George devient rapidement directeur des ventes de Zéro. Soit responsables des colporteurs.
    François, quand à lui, est rédacteur en chef adjoint deZéro dès 1954 et rédacteur en chef à partir de 1957. Il fait la connaissance d'Odile Vaudelle, employée au colportage et qui deviendra sa femme et collaboratrice pendant 30 ans.

    La majorité des dessins de Zéro étaient fait par Cavanna et Fred. Ce dernier (de son vrai nom Othon Aristidès) était un vieil amis de notre Sépia et était arrivé en mème temps que ce dernier dans la bulle.


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