• Le samuraï passe à l'attaque

    10 000 exemplaires. Voila le nombre de journaux tirés et diffusés dans Paris pour le premier numéro de Hara-kiri. Son prix: 1,90F et se présente en petit format pour facilité la vente par colportage qui est à ce moment la seule méthode de vente utilisée par Hara-kiri. Pour son troisième numéro le vente se fait dans les Kiosques. Sont format s'est allongé. Mais les ventes restes modeste et Cavanna (qui est le rédacteur en chef) gère seul toute la mise en page du journal. Bernier quand à lui (qui est le directeur de la publication) se crève au travail afin de trouver des sources de financement, de gérer les relations avec les imprimeurs, avec le marchand de papier...

    Bête et méchant... merci monsieur!

    Tout au Long des années 1960 Hara-kiri en plus d'être vendu dans les kiosques, Hara-kiri continu à ètre vendu par colportage dans le bur de liquidé les invendus. C'est à partir de son septième numéro qu'il se défini comme "journal bête et méchant". Cette formule est tirée d'un fausse lettre écrite par Cavanna se faisant passer pour un lecteur mécontant. Celle-ci s'adressait aux membres de l'équipe et disait "Non seulement vous êtes bêtes, mais en plus vous êtes bêtes et méchants."
                                      
                                 Le panneu indique: Pont des enfants perdus (au cas ou vous auriez du mal à lire)


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