•  Choron est baptisé en 1962 à l'occasion d'une séance de photographie mettant en scène une jeune fille candide et un docte professeur. Ce noms à tout simplement été choisi parce que le mensuuel avait son siège au 4 rue Choron. Cavanna dit: "Et donc la chrysalide devient papillon, Bernier fut enfin Choron. Professeur Choron." C'est à partir de ce moment que ce dernier abandonne ses cheveux pour un crane rasé et son costume-cravate pour un perdessus et un polo rouge.

                              

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    Fin 1950 notre Sépia ainsi que d'autre dessinateurs, comme Fred sont déterminés a quitté le nid afin de créer leur propre journal. Mais pour quitté Denise Novi ils ont besoin du soutien de Georges, qui étant directeur des ventes, dispose d'une autorité sans partage sur l'ensemble des colporteurs. Il pourait ainsi les rallier à la cause de Cavanna et des autres. Bernier n'accepta pas l'offre de suite, ayant peur de devenir son propre chef.

    Choron, un nouveau départ.

    En Mai 1960 Bernier réunnis sont équipe de cloporteurs au 4 rue Choron où il possède un bail. C'est à ce moment que tout commence. Il leur demande désormais de trvaillier pour lui seul. Denise Novi se retrouve du jour en lendemain sans aucun vendeur. Quelques semaines plus elle se décidera a vendre son stock de journaux.

                                 

     


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  • 10 000 exemplaires. Voila le nombre de journaux tirés et diffusés dans Paris pour le premier numéro de Hara-kiri. Son prix: 1,90F et se présente en petit format pour facilité la vente par colportage qui est à ce moment la seule méthode de vente utilisée par Hara-kiri. Pour son troisième numéro le vente se fait dans les Kiosques. Sont format s'est allongé. Mais les ventes restes modeste et Cavanna (qui est le rédacteur en chef) gère seul toute la mise en page du journal. Bernier quand à lui (qui est le directeur de la publication) se crève au travail afin de trouver des sources de financement, de gérer les relations avec les imprimeurs, avec le marchand de papier...

    Bête et méchant... merci monsieur!

    Tout au Long des années 1960 Hara-kiri en plus d'être vendu dans les kiosques, Hara-kiri continu à ètre vendu par colportage dans le bur de liquidé les invendus. C'est à partir de son septième numéro qu'il se défini comme "journal bête et méchant". Cette formule est tirée d'un fausse lettre écrite par Cavanna se faisant passer pour un lecteur mécontant. Celle-ci s'adressait aux membres de l'équipe et disait "Non seulement vous êtes bêtes, mais en plus vous êtes bêtes et méchants."
                                      
                                 Le panneu indique: Pont des enfants perdus (au cas ou vous auriez du mal à lire)


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  • C'est dans leurs locaux que noes deux mascottes se préparent à donner naissance au journal le plus déjanté de l'histoire de la presse française. Bernier s'occupe du côté finance. N'ayant aucun capital il doit s'appuyer sur sa source de revenu la plus importante, ses colporteurs. Il passe de plus le plus claire de son temps a chercher des créancier.
    Notre autre moitié, quand à elle est chargé du titre. Parmis les titres proposés par les collaborateurs on pouvait retenir Fer de lance, Arquebuse ou encore Don Quichotte. Mais Cavanna parvint à imposer son idée. Se sera Hara-kiri.

    Sucide en première page.

    Le premier numéro de Hara-kiri montre en couverture le dessin d'un Samouraï, dessiné par Fred, esxécutant la rituel du sucide japonais. Le reste des pages du journal contiennent des textes écrit par Cavanna et plubliés sous plusieurs pseudonymes dont un certain Jiem. Jeune de dix-huit ans à convaincu Cavanna de publier ses dessins dans Cordées en Juillet 1959. Il ne signe pas encore de son vrai nom: Jean-Marc Raiser.
                               

     


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